I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill
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Jill Sullivan
J'SUIS SEXY COMME : Meaghan Rath JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : Bazzart ET MOI C'EST : Laeti (Cupcake_) DISCUSSIONS ENTAMÉES : 39 COQUILLAGES : 51 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 25/02/2015 ÂGE : 37 PHOTO SOUVENIR :
Sujet: I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill Mer 25 Fév - 22:00
Jill Lucy Sullivan
- Feat Meaghan Rath -
Nom de famille: Sullivan, celui de mes grand-parents qui m'ont élevée, ma mère portait ce nom de famille avant d'épouser mon père, mais comme ces deux-là m'ont abandonnée c'est tout naturellement que mes grand-parents ont décidés de me faire porter leur nom et ils ont bien fait. Prénom: Jill, prénom que ma mère m'a donné avant de m'abandonner devant le pas de la porte de ses parents. Seule chose qu'elle m'a laissée ... Lucy, second prénom de ma mère, que ma grand-mère a décidé de me donner je ne sais pour quelle raison. Elle n'a jamais voulu me le dire, mais j'ai plutôt l'impression que quelque part je lui rappelle ma mère. Date de naissance: 13/02/1987 (28 ans) Lieu de naissance: Sydney, Australie Nationalité: Je suis totalement Australienne puisque je suis née dans le pays des kangourous ! Origines: Mes grand-parents sont natifs de Sydney, ainsi que ma mère, tandis que mon père je n'en ai aucune idée. Je n'ai jamais cherché d'ailleurs ... Profession/Etudes: Barmaid ! J'accumule les heures de boulot alors que je devrais accumuler les heures de sommeil ! Orientation sexuelle: Hétérosexuelle Situation Amoureuse: Sincèrement c'est trop compliqué ! Pour faire court ? Je crois que j'entretiens un amour à sens unique envers mon meilleur ami ... Groupe: Koalas
Au resort, je suis ? Résident Employé Vacancier Backpacker
I. Les Questions
II. Les Ragots
Depuis combien de temps êtes vous au CBR ? Depuis octobre 2011, ça fait déjà un peu plus de trois ans que je bosse ici. Le temps passe vite ...
Pourquoi avoir choisir le CBR ? Hum, pour plusieurs raisons a dire vrai. Je venais de perdre mon job de serveuse à cause de la fermeture du restaurant où je bossais, j'avais besoin d'argent le plus vite possible et puis travailler au CBR me faisait quelque peu rêver. Partager ne fus-ce qu'un bout de bonheur parmi les clients me faisait rêver. La réalité est toute autre, mais je ne regrette aucunement d'avoir postulée et d'avoir été acceptée pour le job de barmaid ! J'aime mon boulot malgré quelques clients désagréables, et je peux me permettre de faire des heures supplémentaires sans que cela me mine le moral !
A quoi ressemble vos journées ? Elles sont longues pour commencer. Généralement je me lève à dix heures, je prend mon p'tit déjeuner à mon aise, vers midi je file au bar du CBR pour entamer de longues heures de boulot. Je l'ai choisi, j'ai besoin d'argent et je ne rechigne pas sur les heures. Je vois défiler des vacanciers, des résidents tous les jours. Des clients sympas, des clients chiants, j'en vois de toutes les couleurs mais je souris à tout le monde, ouais les pourboires ça aide à la fin du mois ! Je prends une pause pour dîner et là je n'ai pas vraiment d'heures, puis je rempile jusqu'aux petites heures du matin. Et je recommence chaque jour, bien que le dimanche j'ai droit à ma journée de repos !
Est-ce que vous préférez les résidents, les vacanciers et backpackers ? Pourquoi ? Je ne supporte pas les résidents, ceux qui vivent là tous les jours sont les plus radins et malpolis que je connaisse ! On ne peut pas dire qu'ils me mènent tous la vie dur quand j'suis de service mais certains ... certains sont de vrais crétins ! En ce qui concerne les vacanciers, la plupart sont sympas, ils sont là pour être tranquilles et ne pas se prendre la tête donc forcément ils sont loin de s'énerver après moi ! Et les backpackers, hum disons qu'ils peuvent pour la plupart se montrer agréables mais c'est plutôt rare, ils sont là pour profiter et tant mieux pour eux, ils pourraient cependant penser que les employés ne sont pas des machines ...
Quels sont vos rapports avec vos collègues, vous êtes du genre à les inviter dans votre chambre pour un after ou plutôt à filer dormir pour ne plus voir leur tronche ? Je suis plutôt quelqu'un de joviale et dynamique, je m'entends avec presque tout le monde, je ne suis pas du genre à chercher la petite bête pour rien et je ne me tracasse pas des problèmes que les employés ont entre eux. Je n'ai rien contre à passer mes soirées en compagnie de mes collègues évidement, et puis comme on bosse tous au Resort on se côtoie tellement souvent qu'il est rare qu'on se déteste tous.
Si vous aviez la possibilité de poser votre uniforme une journée et de vivre la vie d'un client, que feriez-vous ? Je n'en sais rien à vrai dire ... mais je crois bien que je profiterais pour bronzer près de la piscine, je goûterais à tous les cocktails que propose le bar. Je ferais également la fête jusqu'au petit matin.
Que t'inspire la famille Da Silva, les propriétaires du CBR ? Je ne les connais pas plus que ça. Malgré le fait que je les croise dans les couloirs du CBR, on est pas potes et on ne fait pas la fiesta jusqu'au bout la nuit tous ensemble. Monsieur et madame Da Silva on l'air d'êtres des gens charmants, quant à leurs enfants, il est plutôt rare de les voir, enfin il y en a bien un qui s'acharne et arrive à faire pleurer certains employés quand il ne se prélasse pas au bord de la piscine. Je n'ai pas encore eu affaire à lui, et j'espère ne jamais avoir affaire à lui.
Code:
<pris>Meaghan Rath</pris> ❀ Jill Sullivan
Il paraît que derrière Laeti se cache quelqu'un d'autre en réalité...
Sinon moi c'est Laeti et j'ai 23 balais. Je viens de Belgique . J'ai croisé la route de CBR grâce à Bazzart & membres (Sam & Lou ). J'y joue d'ailleurs un personnage inventé. Un dernier petit mot ? J'vous n'aime
Coral Bay Resort
Dernière édition par Jill Sullivan le Jeu 26 Fév - 18:59, édité 9 fois
Jill Sullivan
J'SUIS SEXY COMME : Meaghan Rath JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : Bazzart ET MOI C'EST : Laeti (Cupcake_) DISCUSSIONS ENTAMÉES : 39 COQUILLAGES : 51 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 25/02/2015 ÂGE : 37 PHOTO SOUVENIR :
Sujet: Re: I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill Mer 25 Fév - 22:00
I've got thick skin and an elastic heart
Granny, grand-mère de Jill, nous parle du caractère de sa petite fille :
On ne parle généralement plus de ses défauts que de ses qualités, car effectivement pour soi les défauts sont voyants alors que les qualités moins. Pourtant Jill est une personne sociable, elle a besoin de contacts humains pour s’épanouir et puis comme c'est un vrai moulin à paroles elle n’a pas forcément besoin que les autres parlent. Ce n’est pas qu’elle monopolise la conversation, elle sait s’arrêter quand il faut mais parfois ses amis aimeraient bien trouver le bouton « arrêt ». Être hyperactive ne l’a pas toujours aidé dans la vie, très nerveuse elle a toujours eu ce besoin de bouger, elle ne sait pas tenir en place une seule seconde. Après il y a des jours où elle est plus calme, on sent que son besoin de se défouler est amoindri, elle ne court plus dans tous les sens mais cela ne l’empêche pas d’être dynamique et de motiver les gens autour d’elle. On parle de Jill comme d’une personne généreuse, attentionnée et spontanée. En effet, quoiqu’il arrive elle préfère rendre heureux les personnes proches d’elle parce que ça la rend heureuse, agissant comme elle le pense sans arrières pensées. On dit parfois qu'elle est trop gentille, même si elle sait dire non. Elle ne peut pas voir ces personnes sans domicile à la télévision ou dans la rue sans se mettre à pleurer et ce, même si elle s’est fait avoir plus d’une fois à cause de sa naïveté. C'est quelqu’un de sensible, c’est d’ailleurs pour ça que elle a adopté ce petit chaton mourant de froid dans leur jardin, depuis cette boule de poils est leur mascotte et elle ne la quitte pas d’une semelle. Toutes ses qualités ne l’empêchent pas d’avoir des petits défauts qui traînent bien évidemment. Bornée, elle veut toujours avoir raison sur tout, que cela soit en temps normal que lors de disputes – même si ces dernières se font rare car c’est quelqu’un de facile à vivre – il est difficile pour son entourage de lui donner tort malgré que ça soit le cas … on ne peut rien tirer d’elle lorsque elle est aussi entêtée. Elle peut se montrer également impulsive, un coup de colère et elle démarre au quart de tour, mais son impulsivité l’a poussée à embrasser son meilleur ami, est-ce finalement un réel défaut ? Elle n’en sait rien. Et puis n’oublions pas ce que ses amis lui reprochent le plus souvent : que la maison soit trop en ordre. Il lui arrive d’être un peu maniaque et de faire le ménage de printemps à un autre moment que le printemps. Il n’est pas facile de la suivre dans ces moments-là parce que tout doit être parfait. Ses amis la supportent cependant telle qu’elle est et elle peut être sûre qu’ils ne l’échangeraient pour rien au monde.
Jill nous parle des personnes qui l'ont fait devenir ce qu'elle est aujourd'hui :
Granny :
Granny, ma grand-mère maternelle. Ma seule famille encore présente sur cette terre. C’est elle et mon grand-père aujourd’hui décédé qui mon élevé comme leur fille. Je n’ai jamais connu mes parents et je ne suis pas prête à les chercher, même s’ils doivent être en prison à présent. Mes grands-parents m’ont retrouvé il y a vingt-six ans sur le pas de leur porte, pleurant de toutes mes forces, accompagnée de vêtements et d’une simple lettre qu’ils ont conservé toutes ses années pour me la faire lire quand je fus en âge de comprendre. « Maman, papa, je vous confie votre petite fille. Elle est née le 13 février et se prénomme Jill. Je suis désolée de l’abandonner et de ne laisser qu’un mot pour excuse. Je ne peux pas m’en occuper, pas dans l’état actuel des choses, je savais que vous rêviez d’une vie parfaite pour moi, mais je dois vous décevoir rien que maintenant. J’ai fait des choses impardonnables et je suis tombée amoureuse du mauvais gars que j’ai épousé, pourtant il m’a donnée une si belle petite fille. Je ne peux pas vous dire où je suis, ce que je fais. Si je vous laisse Jill c’est que l’on risque de se faire prendre par la police et je ne veux en aucun cas que ma fille soit placée dans une famille inconnue. Je voulais lui laisser une chance de grandir auprès de vous qui êtes sa famille. J’espère pouvoir revenir le plus vite possible. Je m’en veux mais je suis obligée de faire ça. Merci, et désolée. Votre fille Ana. » Je n’ai jamais revue ma mère ou mon père pendant toutes ces années, je pensais que soit ils m’avaient oubliés soit ils étaient effectivement en taule. Et je ne cherchais pas à savoir quoique ce soit. J’ai grandi entourée de deux personnes qui sont chères à mon cœur, même si j’ai perdu l’une d’entre elle il y a deux ans cette personne garde une place dans mon cœur. Je n’ai jamais posé de questions concernant mes parents, et ils ne m’ont pas harcelés pour me dire à quel point leur fille devait les avoir déçus et qu’ils espéraient que je ne sois pas comme elle. Vers l’âge de dix ans on a apprit que j’étais hyperactive, mes grands-parents ne savaient pas trop quoi faire avec moi tellement j’étais nerveuse, une vraie petite pile électrique, puis j’avais des troubles d’attention ! J’ai passé des tests et me suit retrouvée à prendre du Ritalin pour contrôler cette maladie. Cela ne m’a pas empêchée de faire les quatre cent coups avec mon meilleur ami. On s’est entraîné l’un et l’autre à faire des conneries au grand dam de ses parents et mes grands-parents. J’ai terminé mes études et Granny me confia combien elle était fière de moi durant la remise des diplômes. Je me souviens lorsque j’étais en pleins examens, elle venait voir aussi souvent que possible si je n’avais besoin de rien, prenait le temps de me faire un méga petit déjeuner pour que je puisse mon concentrer. Elle a toujours été attentionnée, que ça soit envers moi ou envers mon grand-père. Lorsqu’il est tombé malade, elle était toujours à son chevet. Je l’ai toujours admirée, et j’aurais aimé être un peu plus comme elle parfois. Aujourd’hui c’est moi qui m’occupe de ma grand-mère, peu de temps après le décès de mon grand-père elle est tombée malade. Nous qui pensions qu’elle avait attrapé un petit rhume, ce dernier s’est aggravé et s’en sont suivit des analyses et autres visites chez les médecins. Diagnostique : cancer des poumons. Plutôt ironique pour une dame qui n’a jamais fumé de sa vie et qui détestait les fumeurs et les fuyait comme la peste. Elle a donc commencé les chimiothérapies, j’ai enchaînés plusieurs petits boulots afin de pouvoir payer son traitement. On n’a jamais roulé sur l’or, et il était clair que si je ne me débrouillais pas pour aider ma grand-mère, elle ne pourrait pas payer son traitement et ses médicaments, seule. Et puis je me devais de l’aider, c’est ma seule famille et je m’en voudrais de ne pas pouvoir être présente pour elle. J’ai trouvé depuis près de trois ans après avoir été virée de mon ancien job, un boulot qui me permet de subvenir à mes besoins tout en aidant Granny. Barmaid au Coral Bay Resort, il est vrai que je ne compte plus vraiment les heures et que j’enchaîne parfois quelques services d’affilés et peu d’heures de sommeil, mais ça paie bien et puis les pourboires ne sont pas négligeables dans ce métier.
Nate :
Je ne me rappelle pas vraiment les débuts de ma relation avec Nate. A vrai dire on se connaît depuis toujours. Nous avons d’abord été voisins avant de devenir meilleurs amis. Nous en sommes devenus inséparables. Je ne saurais pas vivre sans lui à présent, il fait partit de ma vie depuis presque toujours. Je me rappelle ces heures passé au parc lorsque nous étions enfants, j’étais effrayée de monter tout en haut du grand toboggan, j’avais le vertige à l’époque mais il m’a prise par la main et m’a guidé jusqu’en haut. Il a glissé avec moi jusqu’en bas. Il était déjà très protecteur envers moi quand je n’étais qu’une gosse de six ans et qu’il entrait déjà dans l’adolescence. Nos six ans de différence nous ont rapprochés malgré tout, il a toujours mon été voisin et je le considérais comme mon grand frère. Lorsque je me suis égratigné les genoux en tentant de faire du roller il était présent. Et moi, j’étais là quand il est tombé de vélo, bon je m’étais un peu moquée parce que pour moi Nate était quelqu’un a qui il ne pouvait rien arriver. Nous avons grandi ensemble, toujours en habitant l’un à côté de l’autre. Nous passions nos week-ends dans la cabane au fond de son jardin, en préparant nos prochaines blagues à faire à l’école et dans le quartier. C’est à cette période que je suis devenue un peu casse-cou et difficile. On m’a diagnostiquée comme hyperactive, je ne savais pas ce que cela voulait dire à l’époque mais cela ne m’empêcha pas de faire les quatre cent coups avec mon meilleur ami. Sonner aux portes dans les rues voisines et fuir avant que l’on ouvre la porte à laquelle nous avions sonné. Lancer des rouleaux de papier toilettes sur les toits durant la nuit d’Halloween. Oui on était des sales garnements mais c’est une période que je ne regrette pas parce que ce sont de merveilleux souvenirs. Et puis est arrivée l’adolescence, cette période où je n’étais plus sûre de moi, j’ai su garder mon meilleur ami proche de moi malgré tout. Il a réussi à me faire oublier les autres filles qui m’en faisaient voir au cours de sport. Nous étions pire que quand nous étions enfants ! Les heures de colles que nous avons eu alors qu’on était même pas dans la même année. On a presque failli nous renvoyer du lycée si nous ne nous calmions pas. Cela me fait sourire en y repensant. Ma grand-mère était folle de rage, elle m’avait même interdit de revoir Nate. Et effectivement, elle prenait grand soin à ce que nous ne nous voyions plus. Puis, je lui ai désobéi et me suis enfui de chez moi, alors que ma grand-mère était ma seule famille encore vivante après le décès de mon grand-père. Bien entendu, il ne s’est pas fallu longtemps pour que je rentre. Même si elle m’en voulait encore, elle m’autorisa à revoir mon meilleur ami. Notre relation fût plus calme dès lors, il était déjà entré dans l’âge adulte alors que je n’étais encore qu’une adolescente. Heureuse de pouvoir passer à nouveau du temps en sa compagnie je me calmais, décidais qu’il était temps de se reprendre en main et terminer le lycée diplômée. Je l’aidai à se calmer également après les évènements qu’ils y eut chez lui, et il réussi à me canaliser le temps de cette année de terminale afin qu’il n’y ait plus de débordement et que je puisse me concentrer en cours. Et puis la fin d’année arriva, son départ pour l’étranger également. Je me souviens de n’avoir jamais été aussi malheureuse que le jour où il m’abandonna lâchement. Enfin, c’était ma façon de voir, j’étais heureuse qu’il puisse suivre une année d’étude à l’étranger. Il avait vingt-quatre ans et pensait fuir son père en partant étudier à l’étranger, je le jalousais de pouvoir fuir, et en même temps je lui en voulais de me laisser ici seule. L’année où il revint, nous décidions qu’il était temps pour nous de quitter nos maisons familiales, on était adultes et avions des jobs mais pas forcément assez d’argent pour louer quoique ce soit seul. C’est tout naturellement que nous avons emménagés ensemble, dans cette grande maison que nous habitons depuis des années à présent. On a eu plusieurs colocataires, mais dernièrement les personnes habitant avec nous sont les seuls avec je m’entends le mieux et qui supportent mes manies et mon sale caractère. Et puis un qui me supporte plutôt bien c’est Nate. En grandissant mes sentiments n’ont pas changés, je l’aime comme un frère, on se chamaille, on ne passe plus un seul instant sans nous prendre dans les bras, on se bat comme des gamins, et nous nous entendons toujours aussi bien. Enfin, cela c’était il y a encore quelques mois. Cet homme, pour qui je n’avais jamais eu aucun sentiment amoureux, au final je l’aimais plus qu’un frère. Je ne m’en étais pas rendu compte jusqu’à ce soir-là. Il venait de se faire plaquer par sa dernière conquête, et je l’avais ramassé à la petite cuillère, parce qu’au fond même le dragueur qu’il était avait un petit cœur d’artichaut et il l’aimait cette fille, j’en étais même un petit peu jalouse. Je le consolais et sans vraiment prendre conscience de ce que je faisais, l’embrassais. Il ne me repoussa cependant pas. Cela n’alla pas plus loin. Je m’étais arrêtée avant que les choses ne dégénèrent. Il ne fallait pas que ça aille plus loin pour moi. Et pourtant j’en avais tellement envie. Depuis, nous n’arrêtons pas de nous lancer des piques gratuites, je l’évite de temps à autre, mais on passe encore tout notre temps ensemble comme s’il ne s’était rien passé. Entre nous c’est devenu bizarre. C’est dur pour moi, mais je ne compte pas faire le premier pas, s’il ne m’aimait pas je m’en voudrais de perdre celui qui a toujours été présent pour moi. J’attends que les choses se tassent, que notre relation redevienne ce qu’elle était avant mais c’est chose impossible.
Sam :
Sam, que puis-je dire sur Sam ? Je n’ai pas de frères ni de sœurs, enfant unique j’ai pourtant trouvée en Sam une réelle petite sœur. On nous rabâche souvent les oreilles en nous disant qu’on ne choisit pas sa famille, hé bien moi j’vais vous avouer que j’ai choisi ma famille, un p’tit bout de ma famille ! Si je ne l’avais pas rencontrée, je sais bien que ma vie serait différente, j’aurais pu couler des jours pareils sans me rendre compte de ce qu’il me fallait, mais maintenant si je ne devais pas l’avoir à mes côtés je sais très bien ce que je perdrais. Elle dormait dans sa voiture lorsque je lui ai parlé pour la première fois, cette voiture traînait là depuis deux, trois jours et je n’avais pas fait plus attention que ça. Je ne sais pas ce qui m’a poussé à lui adresser la parole et lui proposer un café que je venais d’acheter exprès pour elle, c’était peut-être sa mine déconfite et fatiguée, ou bien c’était mon obsession à voir les gens souriant sur mon passage, je ne regrette cependant pas mon geste. On a discuté pendant un temps qui me paraissait très court, alors que nous avions passé deux heures ensemble. C’est là que j’ai appris que la demoiselle était à la recherche de sa mère. J’ai sauté sur l’occasion, nous avions une chambre vide, elle avait besoin d’un toit et d’un job. J’avais vraiment envie de l’aider ! Même si Nate n’était pas ravis d’avoir une troisième jeune femme dans cette maison, j’ai pourtant l’impression qu’il s’entend bien avec Sam aujourd’hui. J’ai également aidé Sam à obtenir un emploi au Resort. Et puis de là est née une relation toute particulière. Je sais bien comment se comporte les frères et sœurs entre eux, après avoir eu un bon exemple dans la famille de Nate, j’ai pu remarquer que ses deux sœurs s’entendaient bien mais pas au même point que je m’entendais avec Sam même si elle ne faisait pas partie de ma famille. Je vois bien quand elle ne va pas bien, et elle remarque bien de son côté quand je ne suis pas au mieux de ma forme. J’ai passé pas mal de soirées et de nuits en sa compagnie, à parler de tout et de rien, à nous endormir dans le même lit devant un film dont on n’a finalement pas regardé la fin. Je ne me suis jamais autant confiée à quelqu’un, bon Nate est une exception, mais il y a tellement de choses que je ne peux lui dire, il ne comprendrait pas. Alors qu’avec Sam je peux lui parler de tout sans exception. Aujourd’hui cela fait six mois qu’elle fait partie de mon quotidien, elle m’avait prévenue qu’elle restait un an pour retrouver sa mère, je l’encourage tous les jours à ce sujet et lui souhaite de trouver les réponses à ses questions, mais jusqu’à présent elle n’a rien … j’ai peur que les six prochains mois file à une vitesse folle et que je doive lui dire au revoir. Enfin, je ne préfère pas y penser, je préfère nous imaginer ce soir entrain de nous goinfrer de crème glacée devant un bon vieux film romantique à souhait.
Ses parents :
Mes parents … Les personnes que je haïssais le plus au monde. On ne peut décemment pas haïr ses propres parents, parce que ce sont les personnes qui nous chérissent le plus au monde, on est la chair de leur chair. Mais quand vos parents vous abandonne, je pense que vous avez le droit de détester les personnes qui vous ont lâchement laissé tomber dès votre naissance n’est-ce pas ? Quelques semaines après mon premier cri, tout ce que ma mère a réussi de bien c’est de me laisser à mes grands-parents pour que je devienne une jeune femme épanouie, et qui aime la vie. J’suis bien contente qu’elle ne m’ait pas laissée dans un endroit mourant de faim. C’est la seule chose intelligente que mon père et ma mère aient pu faire en fin de compte. Pendant des années je n’ai posé aucune question concernant mes parents, ça ne m’intéressait pas de savoir qui ils étaient, puis je suis tombée sur cet album photo, j’avais à soixante pourcents les traits de ma mère, j’avais hérité de ses yeux, ses cheveux et la couleur de sa peau, de mon père je dois avoir hérité de son nez et de sa bouche. Mais tout mon caractère je le dois à mes grands-parents. C’est là que ma grand-mère m’apprit que ma mère avait laissé une lettre dans mon couffin avant de filer pour ne plus revenir. J’en ai tellement voulu à mes parents sur le coup, je me souviens avoir balancé tout ce que j’avais sous la main ! Moi qui pensais que ma mère était morte en couche, que mon père avait eu un accident, tous les scénarios m’étaient passés par la tête mais le fait qu’ils m’aient abandonnés si lâchement ne m’avait pas traversé l’esprit. J’ai haïs, pendant des semaines, à cause d’eux bons nombres de gens de mon âge dont les parents étaient si attentionnés, ils avaient leurs parents et moi les miens ne m’avaient pas élevée. Cependant, je ne me doutais pas que je reverrais un jour mes parents, de manière particulièrement brutale. Je n’ai même pas pleuré lorsque j’ai appris leur décès. Comment ? Dans un accident de voiture alors qu’ils étaient poursuivis pas les flics. Je ne pouvais pas croire que mes parents étaient toujours recherchés. Finir comme ça … A ce moment-là, je leur en ai voulu et les ai traités de lâches. Malgré le fait que je ne les ai jamais connus, je me fais un devoir d’aller leur rendre visite sur leur tombe. Je leur raconte ma vie, tout ce qu’ils ont raté, bizarre n’est-ce pas ? Je n’ai jamais pu leur dire de leur vivant, et j’ai ce besoin irrépressible d’aller les voir maintenant que je sais où ils sont.
Dernière édition par Jill Sullivan le Dim 1 Mar - 23:16, édité 18 fois
Rafael Da Silva
J'SUIS SEXY COMME : Teixeira muchacha JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : london jukebox ET MOI C'EST : future mrs. payne DISCUSSIONS ENTAMÉES : 132 COQUILLAGES : 175 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 04/12/2014 PHOTO SOUVENIR :
& BLABLABLA & BLABLABLA : I DON'T HATE YOU... BUT LET'S PUT THIS WAY, IF I HAD A BUCKET OF WATER... & YOU WERE ON FIRE, I'D DRINK THE WATER.
Sujet: Re: I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill Mer 25 Fév - 22:44
Salut toi !!!
Alors je sais que je passe mon temps a répéter que je déteste les résidents et les employés, mais tu sais si vraiment tu te sens seule... Je peux sans doute faire une exception pour toi et te laisser venir dans ma suite
Cette tenue y est évidemment obligatoire!
Non juste avec toi sexy Bon par contre c'est pas toi qu'on doit inviter pour mettre l'ambiance aux soirées du CBR visiblement hein !
Non effectivement tu ne lui ressemble pas vraiment, mais il y a quand même des limites au massacre hein
Bon hormis toutes ces bêtises, j'ai hâte de voir ce que tu vas faire avec Gilette aka la tueuse de yéti j'ai mon DC qui est Aphrodite Karagounis, elle est employée aussi. Donc que ce soit avec mon fils de proprio ou ma petite femme de ménage, je suis sûr qu'on a moyen de trouver un truc qui dépote toi et moi
Merci de nous avois rejoins dans cette folle aventure en tout cas puis si tu as besoin, n'hésite pas à mporner le roi des boulets... Tu sais bien qu'il saura te répondre avec plaisir
Jill Sullivan
J'SUIS SEXY COMME : Meaghan Rath JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : Bazzart ET MOI C'EST : Laeti (Cupcake_) DISCUSSIONS ENTAMÉES : 39 COQUILLAGES : 51 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 25/02/2015 ÂGE : 37 PHOTO SOUVENIR :
Sujet: Re: I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill Mer 25 Fév - 23:20
Hum laisse-moi y penser ... Si y a un massage à la clé ça peut se négocier
Mais attends j'sais mettre l'ambiance ... Bon je sais organiser des fêtes qui déchirent quand même et j'commence ce soir
Oh mais qu'est-ce que tu raconte, j'danse bien, parfois
Bon c'était un mauvais exemple, c'est mieux là
Merciiiiiii
Yeap ! J'viendrais te harceler sur tes fiches de liens dès ma validation
Mouhahaha je n'hésiterais pas à te mpotter, entre boulets on s'comprend
ce message a été posté 20 ans plus tard à cause de ma connexion pourrie
Alizée Delmas
J'SUIS SEXY COMME : Kylie *hot* Jenner JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : angel dust. ET MOI C'EST : long way home, ou Mat' pour les intimes. DISCUSSIONS ENTAMÉES : 229 COQUILLAGES : 204 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 03/12/2014 ÂGE : 28 PHOTO SOUVENIR :
Sujet: Re: I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill Mer 25 Fév - 23:33
ERZANOUNETTE
T'es juste trop belle en Meaghan quoi !!! **
En plus, on la voit jamais, ça fait plaisir de voir de l'originalité ici, t'es au top du top !
Du coup, bienvenue par ici
I'm sorry, what ??
Ha je préfère ça... Alors maintenant garde ce sourire et sers-moi un Sex on the Beach !
Dernière édition par Alizée Delmas le Mer 25 Fév - 23:54, édité 1 fois
Jill Sullivan
J'SUIS SEXY COMME : Meaghan Rath JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : Bazzart ET MOI C'EST : Laeti (Cupcake_) DISCUSSIONS ENTAMÉES : 39 COQUILLAGES : 51 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 25/02/2015 ÂGE : 37 PHOTO SOUVENIR :
Sujet: Re: I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill Mer 25 Fév - 23:53
Oooowh merci !! j'pourrais dire pareil de toi en Kylie
Même si là tu fais peur
Héhé, j'aime être originale de temps à autre
J'm'excuse pour avoir dis quelque chose que je ne pensais pas à cause de mes insomnies
J'suis heureuse d'être ici
Tiens, mon beau sourire rien que pour toi
*file faire le cocktail*
Ahilan Hashmi
J'SUIS SEXY COMME : Zayn Skinny Malik JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : mes petites mimines pour les deux (a) ET MOI C'EST : future mrs. payne, toujours la même relou... DISCUSSIONS ENTAMÉES : 47 COQUILLAGES : 88 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 20/02/2015 PHOTO SOUVENIR :
& BLABLABLA & BLABLABLA :
" On a tous des milliers de raisons d'en vouloir aux gens qu'on aime. Peut-être autant de manières de leur pardonner... "
Sujet: Re: I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill Jeu 26 Fév - 1:02
Jill Sullivan a écrit:
Elle avait du se faire droguer par le saucisson allemand la pauvre
Alexis Swensson
J'SUIS SEXY COMME : lily collins JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : (avatar) merenwen, (signa) luckyred & (gif) tumblr ET MOI C'EST : b_bulle DISCUSSIONS ENTAMÉES : 45 COQUILLAGES : 61 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 09/12/2014 ÂGE : 33 PHOTO SOUVENIR :
& BLABLABLA & BLABLABLA : « Si tu pouvais m’entendre, je dirais que nos empreintes ne s’effacent jamais des vies que nous avons touchées. » #rememberme
Sujet: Re: I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill Jeu 26 Fév - 11:05
bienvenue chez les fous petit panda Meaghan est sublime, c'est un choix de dingue, jolem en plus, tu es une copine barmaid alors forcément, je ne peux qu'approuver si tu as la moindre question, tu connais le chemin
Jed Angstrom
J'SUIS SEXY COMME : will eustace JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : mexicali rose ET MOI C'EST : jellycracks DISCUSSIONS ENTAMÉES : 31 COQUILLAGES : 47 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 25/02/2015 ÂGE : 32 PHOTO SOUVENIR :
& BLABLABLA & BLABLABLA : C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut.
Sujet: Re: I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill Ven 27 Fév - 11:19
GOD. Quelle bombe en plus une barmaid et un gentil koala! garde moi un lien
Juergen Cookson
J'SUIS SEXY COMME : Taron Egerton l'espion sexy dans Kingsman. JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : .sparkle ET MOI C'EST : #PHOENIX. DISCUSSIONS ENTAMÉES : 32 COQUILLAGES : 51 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 25/02/2015 ÂGE : 34 PHOTO SOUVENIR :
& BLABLABLA & BLABLABLA : I BELIEVE THE ANSWER TO THAT QUESTION, LIKE THE ANSWER TO MOST QUESTION IS, FUCK YOU !
Sujet: Re: I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill Sam 28 Fév - 13:47
Bienvenue !
Alexia McCalloway
J'SUIS SEXY COMME : Caity Lotz JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : mon photoshop ET MOI C'EST : coco choco DISCUSSIONS ENTAMÉES : 55 COQUILLAGES : 71 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 25/02/2015 ÂGE : 37 PHOTO SOUVENIR :
& BLABLABLA & BLABLABLA : would you be suprised if I said I wanna quit my job and open a new town car service with the slogan "Lie back and I will ride you until you tell me to stop."?
Sujet: Re: I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill Dim 1 Mar - 21:09
Meaghan !!!! Ohhh c'est tellement rare de la voir!! réserve moi un lien de folie <3 bienvenue et courage pour la fin^^
Jill Sullivan
J'SUIS SEXY COMME : Meaghan Rath JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : Bazzart ET MOI C'EST : Laeti (Cupcake_) DISCUSSIONS ENTAMÉES : 39 COQUILLAGES : 51 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 25/02/2015 ÂGE : 37 PHOTO SOUVENIR :
Sujet: Re: I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill Dim 1 Mar - 22:56
Ahilan : la pauvre ouais
Alexis : Lily Collins Maaaarchi bien ! Va nous falloir un lien dans ce cas chère collègue
Jed : Ouh, je ne connais pas ton vava, mais il est charmant Je te garde un lien sans soucis
Juergen : Merciiiii
Alexia : Merciiiiii Je te garde un lien promis
Et voilàààà j'ai fini ma fichette
Braeden Turner
J'SUIS SEXY COMME : holland roden JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : (avatar) cripsow, (signa) anaëlle & (gifs) tumblr ET MOI C'EST : b_bulle DISCUSSIONS ENTAMÉES : 105 COQUILLAGES : 146 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 15/02/2015 ÂGE : 34 PHOTO SOUVENIR :
& BLABLABLA & BLABLABLA : « Si j’avais un pistolet et deux balles dedans, avec toi, Hitler et Ben Laden dans une pièce, je te tirerais deux fois dessus. » #teenwolf
Sujet: Re: I'm like a rubberband until you pull too hard ✘ Jill Dim 1 Mar - 23:40
FÉLICITATIONS Jill, VOILA LE PLAN DU RESORT !
Maintenant que vous avez rempli tous les formulaires, je vous invite à vous rendre au cocktail de bienvenue organisé juste à droite du hall dans notre bar Lounge. Nos bagagistes livreront vos sacs et valises pendant votre temps de détente jusqu'à votre logement. N'hésitez pas à profiter de ce moment de partage pour d'ores et déjà créer des liens avec les personnes déjà présentes sur place. Si vous attendez de la visite, n'hésitez pas non plus à venir nous déposer un avis de recherche à l'accueil, nous nous ferons un plaisir d'orienter vos amis vers vous dès leur check in. Il vous est également recommandé de noter votre nom sur le plan du resort à l'endroit de votre emplacement/bungalow/appartement pour plus de convivialité. Vous pourrez également trouver une liste des employés dans le dossier qui vous a été remis à l'arrivée, vous êtes invités à les solliciter en cas de besoin.
Maintenant, assez parlé, je vous en prie, avancez vers le bar et prenez un verre afin de célébrer le début de cette nouvelle aventure au CORAL BAY RESORT. [...] Hum... Le barman me signale qu'il est temps de vous raccompagner à votre chambre, vous avez une descente vertigineuse dites-moi ! En tout cas, il en sait long sur votre vie, à ce propos, voilà ce qu'il m'a dit :
ce petit bout de femme est un vrai régale, autant pour les yeux que pour le coeur elle est très intéressante, d'un point de vue personnel et caractériel. elle en a vécu des choses difficiles mais elle a su se relever tant bien que mal. elle fait preuve de beaucoup de courage en étant aux côtés de sa grand-mère de cette manière. c'est une espèce de wonderwoman des temps modernes si l'on peut dire ainsi elle se plie en quatre sans broncher pour quelques médicaments, histoire de redonner un peu d'espoir à cette femme qui l'a élevé comme sa propre fille. c'est beau à voir et à entendre et puis, il y a ce Nate, son meilleur ami. je voudrais en savoir plus sur leur relation. elle l'aime, ça crève les yeux. par contre, il serait intéressant de savoir si ses sentiments sont réciproques parce que, finalement, on a beau être le jumeau de Chuck Bass, même ce type a un coeur cette jeune femme promet de faire de grandes choses et sa joie de vivre et son dynamisme sont un atout essentiel au Resort. j'ai également hâte d'en savoir un peu plus sur la relation fusionnelle qu'elle entretient avec la jeune Sam. Bref, je pense que Jill est un élément que l'on ne devrait pas perdre de vue car elle est pleine de surprise et ça, j'achète !
Jill Sullivan
J'SUIS SEXY COMME : Meaghan Rath JE DOIS MA JOLIE BOUILLE À : Bazzart ET MOI C'EST : Laeti (Cupcake_) DISCUSSIONS ENTAMÉES : 39 COQUILLAGES : 51 JE SUIS LÀ DEPUIS LE : 25/02/2015 ÂGE : 37 PHOTO SOUVENIR :